Vous n’avez peut-être pas subi de blessure dans le cadre de votre travail, mais vous connaissez peut-être quelqu’un dont la blessure a affecté son travail d’une manière ou d’une autre. Bien que la convalescence puisse être difficile, divers programmes tels que l’endurcissement et le conditionnement au travail s’avèrent utiles pendant ces périodes. En fonction du niveau de la blessure, ces programmes se concentrent sur la préparation du corps pour qu’il soit en mesure d’effectuer des tâches. Quelle est donc la différence entre ces deux programmes ?
Qu’est-ce que l’endurcissement au travail ?
Il s’agit d’un programme individualisé, hautement structuré et axé sur les objectifs, conçu pour aider un employé à reprendre le travail en pleine possession de ses moyens. Pour plus d’efficacité, les programmes de réentraînement au travail sont multidisciplinaires en ce sens qu’ils utilisent des activités simulées ou réelles pour rétablir les fonctions comportementales, physiques et professionnelles.
Ils abordent les questions relatives à la sécurité, aux comportements des travailleurs, aux tolérances physiques et à la productivité. Des spécialistes de la formation professionnelle, des kinésithérapeutes, des psychologues ou des ergothérapeutes peuvent être consultés pour le réentraînement au travail.
Qu’est-ce que le conditionnement au travail ?
Il s’agit d’un programme intensif orienté vers un but précis, conçu pour restaurer les fonctions musculo-squelettiques et neuromusculaires. Ces fonctions comprennent la puissance, la mobilité des articulations, la force, l’endurance cardiovasculaire, le contrôle moteur et d’autres capacités fonctionnelles. Toutes ces fonctions sont mises en œuvre pour permettre à un travailleur de retrouver les fonctions qu’il exerçait avant sa blessure.
Ces programmes s’adressent également aux personnes qui exercent des métiers à forte demande physique, tels que grimper, pousser, tirer, ramper et porter des matériaux lourds. Pour permettre aux travailleurs d’acquérir la confiance nécessaire pour reprendre le travail en toute sécurité, ces activités peuvent être réalisées dans un environnement contrôlé.
Similitudes entre le durcissement au travail et le conditionnement au travail
- Les deux visent à restaurer la fonctionnalité et la capacité d’un travailleur à travailler pleinement et en toute sécurité.
Différences entre l’endurcissement et le conditionnement au travail
Définition
L’intensification du travail est un programme individualisé, hautement structuré et axé sur les objectifs, conçu pour aider un employé à reprendre le travail en pleine possession de ses moyens. D’autre part, le conditionnement au travail fait référence à un programme intensif axé sur les objectifs et conçu pour restaurer les fonctions musculo-squelettiques et neuromusculaires.
Champ d’application
Alors que l’endurcissement au travail se concentre sur l’utilisation d’activités simulées ou réelles pour restaurer les fonctions comportementales, physiques et professionnelles, le conditionnement au travail se concentre sur la restauration de la puissance, de la mobilité des articulations, de la force, de l’endurance cardiovasculaire, du contrôle moteur et d’autres capacités fonctionnelles.
Résumé de Work hardening vs. Work conditioning
Le réentraînement au travail est un programme individualisé, hautement structuré et axé sur les objectifs, conçu pour aider un employé à reprendre le travail en pleine possession de ses moyens. Il se concentre sur l’utilisation d’activités simulées ou réelles pour restaurer les fonctions comportementales, physiques et professionnelles.
D’autre part, le conditionnement au travail fait référence à un programme intensif axé sur les objectifs et conçu pour restaurer les fonctions musculo-squelettiques et neuromusculaires. Il se concentre sur la restauration de la puissance, de la mobilité des articulations, de la force, de l’endurance cardiovasculaire, du contrôle moteur et d’autres capacités fonctionnelles
Les deux programmes peuvent toutefois bénéficier aux professionnels qui travaillent beaucoup, tels que les policiers, les pompiers, les plombiers, les mécaniciens, les ouvriers du bâtiment, les prestataires de soins de santé et les chefs cuisiniers, pour n’en citer que quelques-uns.