Soudage MIG et TIG
Dans le domaine de la métallurgie, le soudage est le processus de fabrication et de sculpture de matériaux par coalescence. Ces matériaux sont généralement thermoplastiques ou métalliques. Le processus est souvent réalisé en chauffant le matériau solide jusqu’à ce qu’il fonde, puis en ajoutant des matériaux d’apport dans les pièces fondues, ce qui permet de renforcer leur fondation. Il arrive également que le processus de chauffage soit utilisé sous pression. Différentes sources d’énergie peuvent être utilisées pour initier le soudage. Cela peut aller de la flamme de gaz typique, en utilisant la friction et l’arc électrique, à des méthodes plus sophistiquées comme l’utilisation de lasers, de faisceaux d’électrons et d’ultrasons. Le processus peut être dangereux et des précautions sont normalement prises pour éviter les brûlures, les chocs, la lumière intense, les radiations et l’inhalation de gaz toxiques.
Plusieurs types de procédés de soudage sont également utilisés aujourd’hui. L’un d’entre eux est le soudage à l’arc. C’est l’un des types les plus couramment utilisés. Le soudage à l’arc utilise un arc électrique généré par l’électrode du soudeur. Avec le matériau de base et l’utilisation du courant électrique, il fait partie de l’alimentation électrique de la soudure. Le développement de la méthode de soudage à l’arc remonte à 1802, lorsqu’un physicien expérimental russe nommé Vasily Vladimirovich Petrov a découvert l’arc électrique continu. Petrov a proposé que l’arc électrique puisse être utilisé dans diverses applications, y compris le soudage. En 1881, le premier procédé de soudage à l’arc breveté a vu le jour, une torche à arc au carbone. L’idée est venue d’Auguste de Méritens, qui a utilisé un équipement de soudage modifié, doté d’une hotte fermée et d’un tuyau d’extraction des fumées pour contrôler le flux des fumées d’oxyde de plomb. Les progrès du soudage à l’arc ont conduit à l’utilisation d’électrodes, consommables ou non, pour le soudage, ainsi qu’à l’utilisation du courant continu et du courant alternatif. D’autres méthodes ont également été introduites au cours de l’histoire, comme le soudage MIG et le soudage TIG.
Le soudage au gaz inerte métallique, également appelé MIG, est alimenté en continu par un fil consommable qui sert à la fois d’électrode et de matériau d’apport, ainsi que par un gaz de protection qui circule autour du fil afin d’éviter toute contamination de la pièce à souder. Cette méthode offre une vitesse de soudage rapide et des soudures de haute qualité. Toutefois, la complexité de l’équipement rend cette méthode moins polyvalente et moins pratique que d’autres méthodes utilisant des électrodes consommables.
Le soudage TIG, ou soudage au gaz inerte de tungstène, est un procédé de soudage à l’arc qui utilise une électrode de tungstène pour souder et un gaz de protection comme dans le soudage MIG. Contrairement à l’électrode du soudage MIG, celle-ci n’est pas consommable. Le tungstène n’est pas mélangé à l’électrode comme produit d’apport pour le site de soudage et est ensuite brûlé. Mais la méthode peut toujours inclure l’utilisation d’un matériau d’apport. Cette méthode requiert davantage de compétences que le soudage MIG, car l’opérateur doit tenir l’électrode pour former l’arc électrique, mais elle produit une soudure de meilleure qualité que le soudage MIG.
Résumé :
1. le soudage est un processus de fabrication et de sculpture de matériaux par coalescence. Plusieurs types de procédés de soudage ont été introduits au cours de l’histoire.
2. l’un de ces types est le soudage à l’arc. La découverte d’un arc électrique continu par Vasily Vladimirovich Petrov l’a amené à proposer de l’utiliser pour différentes applications telles que le soudage. Les progrès réalisés dans le domaine du soudage à l’arc ont conduit à l’utilisation de différentes méthodes dans l’industrie métallurgique. Parmi ces méthodes figurent le soudage MIG et le soudage TIG.
3) Le soudage MIG, ou soudage sous gaz inerte métallique, utilise un fil consommable qui sert à la fois d’électrode et de matériau d’apport. Il utilise également un gaz de protection pour souder. Cette méthode offre une vitesse de soudage rapide et des soudures de haute qualité, mais la complexité de l’équipement peut gêner le travail.
4) Le soudage TIG, ou soudage au gaz inerte de tungstène, est un procédé de soudage à l’arc qui utilise une électrode de tungstène pour souder et un gaz de protection comme pour le soudage MIG. Le tungstène n’agit pas comme un produit d’apport et est simplement brûlé. La méthode est plus compliquée parce qu’il faut tenir l’électrode, mais elle permet de réaliser un travail artistique.